Les mille et une nuits de Krushnik, de Sholem-Aleikhem
Découvrez ce récit tragi-comique du “Mark Twain juif” !
Voyage au Phare, de Virginia Woolf
Ce qui est fascinant avec Voyage au Phare c’est qu’en seulement 286 pages, Virginia Woolf nous livre une réflexion sur l’enfance, la maternité, le deuil, le processus de création artistique avec intelligence, humour parfois, et une très grande sensibilité. Je suis heureuse d’avoir fait la rencontre de cette autrice magistrale.
Moi, Tituba sorcière…, de Maryse Condé
Bien qu’un peu triste de découvrir l’œuvre de cette grande autrice après sa mort, je ressors de cette lecture éblouie et me dis qu’il me reste beaucoup d’autres livres de cette trempe à lire.
Le Côté de Guermantes, de Marcel Proust
J’ai un peu étouffé dans les salons du faubourg Saint Germain et il m’a fallu un peu de temps pour finir cette lecture… qui m’a tout de même réservé de jolis passages.
A l’ombre des jeunes filles en fleurs, de Marcel Proust
Poursuite de mon aventure proustienne avec ce volume où il est évidemment beaucoup question de fleurs. Et de poissons, aussi.
Du côté de chez Swann, de Marcel Proust
Même si elle n’était pas copine avec Proust, c’est Colette et ses introspections qui m’ont donné envie de m’attaquer à La Recherche du temps perdu. Voici mes impressions suite à ma lecture du premier tome.
Mon été avec Colette
Le 150ème anniversaire de Colette (1873 - 1954), célébré par La Grande Librairie en début d’année, m’a donné une furieuse envie de me replonger dans l’œuvre de cette grande autrice. D’elle, je ne connaissais que Le Blé en herbe et L’Ingénue libertine.
L’Education sentimentale, de Gustave Flaubert
Après quelques errances littéraires, j’ai jeté mon dévolu sur une valeur sûre, un classique qui retrace avec finesse et intelligence le parcours d’un “loser”. Evidemment, le talent de Flaubert fait de cette vie médiocre un roman fascinant.
La promesse de l’aube, de Romain Gary
Je n’avais encore jamais lu d’œuvre de cet auteur prolifique et mon choix s’est porté sur la très célèbre Promesse de l’aube, parue en 1960…
Ourika, de Claire de Duras
J’ai découvert l’existence de court roman (ou nouvelle ?) très récemment, en écoutant une série documentaire de France Culture dédiée à la naissance du racisme, et particulièrement son chapitre consacré au Siècle des Lumières. Et, à ma grande surprise, ce livre ne fut pas facile à trouver…
Les Métamorphoses, d’Ovide
Ce recueil de poèmes regroupés en quinze livres évoque la création du monde jusqu’à l’apothéose de César et la glorification d’Auguste. On y croise Dieux, nymphes, naïades, et héros tels qu’Achille ou Ulysse dans un formidable plan séquence qui s’adresse essentiellement aux sens et aux émotions du lecteur, plus qu’à son cortex
L’Enéide, de Virgile
L’histoire de cette lecture est un peu puérile : après avoir lu l’Iliade et l’Odyssée en 2020, je voulais connaître « la suite »...
Paul et Virginie, de Bernardin de Saint Pierre
Ce court roman est le quatrième tome des Etudes de la Nature de Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre (1737-1814). Grâce à sa carrière d’ingénieur, Bernardin de Saint Pierre a voyagé à Malte, en Russie, en Pologne ainsi qu’en île de France (désormais île Maurice), où se déroule l’intrigue de Paul et Virginie. Roman pastoral et exotique, Paul et Virginie connut le succès à sa sortie en 1788 et inspira les romantiques, semble-t-il.
La Guerre et la paix, de Tolstoï
Que dire de ce roman de plus de deux mille pages ? Comme pour Anna Karénine, la partie purement romanesque du récit m’a emportée, j’ai développé un véritable attachement pour certains personnages et le sens de l’observation de l’auteur m’a bluffée. (…) Sauf que,…
Persuasion, de Jane Austen
Alors que Netflix diffuse depuis le 15 juillet une nouvelle adaptation cinématographique du dernier roman de cette très grande autrice, j’ai à nouveau relu le parcours sentimental tourmenté de la sage, réfléchie mais aussi passionnée (notamment de littérature !) Anne Elliot.