Le radeau des étoiles, d’Andrew J. Graff
Littérature américaine encore et toujours. Les élections présidentielles américaines m’ont donné une furieuse envie de lire des romans écrits de l’autre côté de l’Atlantique. Et la lecture de ce roman qui suit le cours d’une rivière sauvage dans le Wisconsin fut très addictive!
Petit oiseau du ciel, de Joyce Carol Oates
Petit oiseau du ciel est le premier livre de la prolifique Joyce Carol Oates que je lis et il est évident que je ne m’arrêterai pas là malgré certaines redondances dans la narration.
Indian Creek Chronicles, de Pete Fromm
C’est officiel, je suis une amatrice de la (du?) “nature writing” et ces Chroniques d’Indian Creek m’ont définitivement convaincue.
A Confederacy of Dunces, de John Kennedy Toole
Il faut suivre les tribulations, les déconvenues personnelles et professionnelles d’Ignatius Reilly, “héros” de cette farce loufoque et grotesque, au moins une fois dans sa vie. Quel livre, mais quel livre !
American Dirt, de Jeanine Cummins
Un récit haletant qui fait également réfléchir sur ce que l’Occident représente pour les ressortissants des pays que l’on appelle pudiquement du “Sud global”. Voilà une belle lecture pour les vacances. Mais, attention: on n’en sort pas indemne.
The Human Stain, de Philip Roth
Bluffée par la drôlerie, l’impertinence et la causticité du Complexe de Portnoy, je ne voulais pas en rester là avec Philip Roth. Par chance, an en août dernier, je tombe sur The Human Stain en librairie. Quelle lecture éblouissante !
LaRose, de Louise Erdrich
C’est en lisant un numéro spécial du 1 des libraires consacré aux Etats-Unis que j’ai découvert cette autrice contemporaine. Interviewée sur la vie politique de son pays, elle répond avec beaucoup d’acuité et de clairvoyance. Je me suis dit qu’il fallait à tout prix que je découvre son œuvre…
Beloved, de Toni Morrison
Ma première rencontre avec cette œuvre, qui a valu le prix Pulitzer à son autrice en 1988, remonte à l’an 2000, année de mon bac. Vingt-deux ans plus tard, je sors une édition française datant de 1989 de ma bibliothèque pour enfin lire ce roman qui m’intimidait.
Portnoy et son complexe, de Philip Roth
Lu car conseillé par Dany Laferrière dans la dernière « Grande librairie » animée par François Busnel avant l’été (un roman loufoque où il est question de sexe, de judéité et du poids de la famille ? Autant dire un livre pour moi !), Portnoy et son complexe, paru en 1967, fut le premier succès de Philip Roth.
Tokyo Vice, de Jake Adelstein
Connaissant assez mal le monde des polars, j’avais lu une critique plutôt élogieuse de ce livre il y a de nombreuses années et je me suis enfin décidée à l’acheter, puis le lire.